2.12.06

Licenciement chez EADS ... a venir.

Science fiction ou réalité ?
Sans faire de vilains jeux de mots, ce n’est pas noël pour les employés et sous traitant d'Airbus.
après 1 an passé à la tête du groupe EADS dont Airbus fait partie à 90%, Noël Forgeard, fait des merveilles.
un décalage des livraisons prévues de six à sept mois, baisse des bénéfices d’exploitations de 500 millions d'euros par an par rapport au plan initial, de 2007 à 2010.

Et qu'elle salaire durement gagné pour cette année (levé des stock-options 2.500.000€ + Salaire annuelle 1.130.000€ + Prime bonus 1.200.000€ + Indemnités de démission 3 x salaire 3.390.000€ = 8.220.000€ ;-)
On ce croirait au loto. lol
Sachez que Noël Forgeard et ses 3 enfants (les pauves chéries) ont levé leurs actions et stock-options 3 mois avant la chute du titre de -26,32% suite à l'annonce du retard des livraisons de l'A380.
Une simple intuition ? mon cul c'est du poulet.

1 commentaire:

at home a dit…

vous en voulez encore :
Les stock-options : des millions d'euros de plus-values
Selon un palmarès du mensuel L'expansion, paru en juin, le co-président d'EADS, Noël Forgeard, se situe au 4e rang des patrons français qui ont encaissé les plus grosses plus-values de stock-options en 2005-2006, avec 3,4 millions d'euros. Le PDG de la banque Société Générale, Daniel Bouton, est en tête avec plus de 5 millions d'euros, devant Franck Riboud, PDG du groupe alimentaire Danone (4,6 millions), et Thierry Desmaret, PDG du groupe pétrolier Total (4,4 millions). Dans ce palmarès, il s'agit de stock-options (options d'achat d'actions de l'entreprise à un prix fixé par avance) qui ont été non seulement transformées en actions mais aussi vendues par leurs détenteurs qui ont empoché leurs plus-values. Au total, les patrons du CAC 40 se sont partagé en 2005-2006 près de 26,6 millions de plus-values de stock-options, selon L'Expansion, qui a arrêté ses calculs au 2 mai. Mais si on considère les plus-values potentielles depuis 2001, l'ancien président du groupe de BTP Vinci, Antoine Zacharias, arrive largement en tête avec plus de 173 millions d'euros, devant le PDG du groupe de luxe Moët Hennessy Louis Vuitton (LVMH), Bernard Arnault, avec 91,6 millions, et le PDG du groupe d'assurance Axa, Henri de Castries (47,2 millions). Les rémunérations versées aux patrons du CAC 40 en 2005 (y compris les primes de départ) ont représenté au total 109 millions d'euros. Là aussi, Antoine Zacharias arrive en tête avec 16,5 millions d'euros, devant Jean-Marc Espalioux, ancien PDG du groupe hôtelier Accor, avec 13,6 millions d'euros (dont 9 à 12 millions de prime de départ), Linsay Owen Jones, président du groupe de cosmétiques L'Oréal (7,4 millions) et Bernard Arnault (4 millions).